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Finished - 01:00
Rafael Nadal
3
0
0
0
0
Roger Federer
6
6
0
0
0
Nadal
-
Federer
Score
1h14
Au programme demain, Tipsarevic (remplacant de Murray) face à Berdych et Djokovic face à Ferrer.
1h13
Le Suisse prend la tête du Groupe B et se qualifie pour les demi-finales tandis que Nadal jouera sa qualification face à Tsonga jeudi.
1h00
C'est fini ! Victoire de Federer qui n'a perdu que trois petits jeux dans ce match. Impressionnant !
0h59
Set 2
0h59
0
-
6
3-6 0-6
+
0h58
Et un ace pour s'offrir deux balles de match, 40-15 !
0h56
C'est difficile d'en croire ses yeux mais c'est bien vers un 6/0 qu'on semble se diriger.
0h56
La troisième est la bonne ! Il n'y a plus de match dans l'O2 Arena, Federer est en train d'infliger une véritable correction à Nadal.
0h55
0
-
5
3-6 0-5
+
0h54
40-A, nouvelle balle de break, la troisième du jeu
0h54
La deuxième est également écartée
0h54
La première est sauvée d'un ace terriblement bien venu
0h53
15-40, deux nouvelles balles de break pour Federer. Nadal est tout près du naufrage.
0h52
Federer continue de dérouler, il enchaîne les coups gagnants, principalement en coup droit et on ne voit plus comment la victoire pourrait lui échaper.
0h48
0
-
4
3-6 0-4
+
0h47
Nouveau break de Federer qui se détâche peut-être irrémédiablement dans cette partie. C'est un véritable récital du Suisse face à un Nadal qui paraît complètement impuissant maintenant.
0h45
0
-
3
3-6 0-3
+
0h45
Federer tient son service sans problème.
0h40
0
-
2
3-6 0-2
+
0h39
C'est bien parti pour le Suisse tandis que l'Espagnol ne semble pas capable de trouver des solutions pour l'instant.
0h39
Et le break d'entrée pour Federer ! Il conclu d'un splendide coup droit en bout de course qui laisse à nouveau Nadal sur place.
0h38
0
-
1
3-6 0-1
+
0h37
40-A, balle de break pour Federer suite à un coup droit trop long de Nadal.
0h36
40-40, Nadal est déjà en difficulté sur son service en ce début de deuxième manche.
0h34
Les stats du premier set, 12 coup gagnant et 5 fautes directes pour Federer, 1 coup gagnant et 3 fautes directes pour Nadal. Tout est dit.
0h32
Premier set Federer ! Le Suisse conclu sur sa première balle de set d'un splendide coup droit croisé qui laisse Nadal sur place. C'est propre !
0h30
Set 1
0h30
3
-
6
3-6
+
0h30
40-15, deux balle de set pour Federer !
0h30
Nadal réduit l'écart. L'Espagnol semble avoir haussé le ton sur ce dernier jeu. Il s'est davantage engagé dans ses frappes et a essayé d'abréger l'échange avec succès. Mais c'est maintenant Federer qui est au service pour conclure la première manche.
0h27
3
-
5
3-5
+
0h25
Nadal qui contenait jusque-là le Suisse grace à ses énormes lift est maintenant régulièrement pris de vitesse et il ne parvient pas à conserver le contrôle de l'échange.
0h24
Break confirmé avec autorité pour Federer qui a remporté 12 des 15 derniers et qui prend maintenant le large dans ce premier set.
0h23
Le Suisse parvient à aller de l'avant sur le service adverse et remporte le jeu après un point à rallonge dans lequel c'est Nadal qui fini par craquer en revers.
0h22
2
-
5
2-5
+
0h22
Le break pour Federer !
0h20
2
-
4
2-4
+
0h19
0-40, trois balles de break pour Federer qui parvient à prendr Nadal de vitesse.
0h17
Après avoir mené 40-0, Federer concéde finalement deux points sur deux points mais pas de frayeur pour autant, il tient son service.
0h15
2
-
3
2-3
+
0h14
Chacun des deux joueurs utilise à merveille ses points forts jusque-là et les débats sont très équilibrés.
0h13
Nadal également traquille sur son engagement. Il neutralise à nouveau parfaitement Federer qui n'arrive pas à inverser le cours du jeu et qui fini par se faire prendre par la puissance adverse.
0h12
2
-
2
2-2
+
0h10
Federer ne céde à nouveau d'un point sur sa mise en jeu. A chaque fois qu'il peu rentrer dans le court et prendre le controle du point, il laisse Nadal sans réaction.
0h07
1
-
2
1-2
+
0h07
Nadal facile et finalement absolument pas pris de vitesse sur ce premier jeu de service. Il neutralise Federer avec son énorme lift et fini par le faire céder.
0h05
1
-
1
1-1
+
0h04
Tactique habituelle pour Nadal en ce début de match, il pilonne le revers de Federer.
0h02
Malgré une double faute pour débuter, Federer remporte tranquillement sa mise en jeu. Nadal a déjà semblé être pris de vitesse sur ce premier jeu. A confirmer.
0h00
0
-
1
0-1
+
0h00
Le Suisse se rattrappe bien en revenant à 15-15 grace à un énorme coup droit décroisé. Le match est lancé !
-
C'est parti ! Federer est au service et il débute par une double faute.
-
Les deux joueurs vont maintenant s'échauffer pendant une dizaine de minutes avant d'entamer leur duel.
-
Le tirage au sort vient d'être effectué et c'est Federer qui débutera au service.
-
Nadal l'imite dans la foulée, lui aussi est acclamé par le public dans la pénombre de l'O2 Arena.
-
Et voilà, Federer est le premier à faire son apparition sous les hourras du public.
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Les ramasseurs de balles viennent de faire leur entrée sur le court et les joueurs ne devraient donc pas tarder à les imiter.
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Victoire à l'instant en double de Nestor et Mirnyi sur Fyrstenberg et Matkowski (6/4, 6/3). Il n'y aura donc pas de retard à l'allumage pour le choc du jour Nadal vs Federer. L'entrée des deux joueurs sur le court est toujours programmée à 20h00 (heure locale), 21h00 (heure française).
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Pour patienter, l'interview d'Andy Murray qui a déclaré forfait pour la suite de la compétition cet après-midi est disponible en page d'accueil de TennisTemple.
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Le premier match de la soirée est en cours dans l'O2 Arena. C'est un double et il oppose la paire Fyrstenberg-Matkowski, tête de série n°8 de l'épreuve, à Nestor et Mirnyi, têtes de série n°3. Les tribunes ont donc déjà bien commencé à se remplir avant le choc de toute à l'heure.
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Rendez-vous un peu après 20h00 (heure anglaise), 21h00 (heure française), pour cette 26ème opposition de l'histoire entre Rafael Nadal et Roger Federer.
Jeu de service
Break
Inconnu
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À Rome, Sabalenka met tout le monde d’accord La saison 2024 d’Aryna Sabalenka suit une trajectoire assez originale. Finaliste à Brisbane (battue par Rybakina) et surtout sacrée à l’Open d’Australie, la Biélorusse a connu un début de saison quasi-parfait. Oui, mais voilà, les choses se sont gâtées par la suite. Perdant une part de sa motivation puis subissant le décès de son ex-compagnon en mars, Sabalenka a eu du mal à rester concentrée sur son tennis. C’est simple, avant Madrid, la numéro 2 mondiale ne comptait que 4 victoires en 7 matchs.  Heureusement, elle a retrouvé le chemin de la victoire. Arrivant à Madrid en manque de confiance, Sabalenka a enchaîné les victoires, souvent difficiles. Revigorée par cette spirale positive, elle fait de nouveau figure d’épouvantail. Enchaînant des victoires sur Collins, Andreeva et surtout Rybakina, la joueuse de 26 ans a finalement calé en finale du tournoi espagnol face à la meilleure joueuse du monde, Iga Swiatek (7-5, 4-6, 7-6). Engagée dans un tournoi romain qu’elle n’a pourtant jamais gagné, la Biélorusse impressionne toujours autant. Portée par un public italien qui la soutient avec une grande ferveur, elle semble imperturbable. Remerciant son public après chaque match ou presque, elle se présentera en finale ce samedi. Alternant entre des victoires tranquilles et des matchs beaucoup plus difficiles, Sabalenka a toujours répondu présente. En effet, elle a sauvé des balles de match face à Svitolina avant de parfaitement maîtriser Ostapenko et Collins.  Plus que jamais numéro 2 mondiale, elle a gagné le droit de disputer une revanche face à son bourreau de Madrid, Iga Swiatek.  Dans une finale qui tend à devenir un classique, les deux meilleures joueuses de la planète vont donc se retrouver, deux semaines après s’être affrontées en Espagne, pour un 11e affrontement en carrière. Une chose est sûre : Sabalenka est en train de s’affirmer comme la seule joueuse capable de régulièrement challenger la domination de la Polonaise.
Rétrospective #2 : Le jour où Nadal et Federer se sont livrés à l’une des finales les plus mémorables de l’histoire (Rome 2006) “Vraiment. Rafa est une personne géniale, avec de belles valeurs. Aujourd’hui, il m’a confié avoir pleuré quand j’ai gagné mon Roland-Garros en 2009 tellement il était heureux pour moi.” Cet extrait d’une des multiples interviews accordées par Roger Federer montre très bien la relation toute particulière qu'entretiennent ces deux légendes de notre sport. Cette même rivalité bienveillante qui avait réussi l’exploit d’attirer près de 52000 personnes, le chiffre record pour un match de tennis, à Cap Town en 2020. Questionné sur l’évolution de leur rapport à travers le temps, lors de la Laver Cup 2017, Roger se souvient : “Au début, Rafa était timide, toujours très respectueux envers les autres joueurs du top 10, et moi en particulier parce que j’étais numéro 1 mondial. Puis sa personnalité s’est affirmée. Nous avons eu de rudes et douloureuses batailles sur le court, quelques brouilles, aussi, mais il y a toujours eu un énorme respect entre nous.” Oui, Federer et Nadal ont connu plusieurs rudes batailles menant en effet à quelques brouilles. Et, l’une des plus mémorables remonte au 14 mai 2006 lorsque les deux légendes se sont affrontées en finale du Masters 1000 de Rome. - Un peu de contexte En 2006, ce sont les deux meilleurs joueurs de la planète. D’un côté, Roger Federer est incontestablement le tennisman le plus costaud. Numéro 1 mondial depuis février 2004, il est très solidement ancré sur le trône et ne le quittera plus jusqu’au mois d'août de l’année 2008. En face du Bâlois, c’est Rafael Nadal qui se présente. En 2006, c’est lui le challenger le plus crédible face à l’hégémonie du Suisse. Dauphin de Federer depuis juillet 2005, il le restera jusqu’en août 2008, moment où il finira par passer devant le Maestro au classement. Avant de parler un peu plus en détail de ce duel monstrueux, il convient de revenir sur les saisons de ces deux titans. À seulement 19 ans, ‘Rafa’ réalise un exercice 2006 de très haut niveau : il remporte 58 matchs sur 70, s’adjuge 5 titres (Dubaï, Monte-Carlo, Barcelone, Rome, Roland-Garros) et perd une finale (à Wimbledon, battu par Federer). Federer, de son côté, réalise une saison presque inhumaine. En 17 tournois joués en 2006, Roger ne chute avant la finale qu’une seule fois (battu par Murray à Cincinnati). Le Suisse, au sommet de son art, remporte 90 matchs sur 95 et s’adjuge 12 titres dont trois en Grand Chelem (Doha, Open d’Australie, Indian Wells, Miami, Halle, Wimbledon, Montréal, US Open, Tokyo, Madrid, Bâle, ATP Finals). Le seul à lui résister c’est ‘Rafa’. L'Espagnol privera le Bâlois de quatre titres dont bien sûr Roland-Garros ce qui empêchera le Maestro de réaliser le Grand Chelem calendaire. Heureusement, Federer maîtrisera bien mieux son adversaire sur la suite de la saison, remportant leurs deux derniers matchs. Ce n’est pas un secret, les duels entre Federer et Nadal ont marqué plusieurs générations de passionnés. Dans l’histoire du tennis, les « Fedal », c’est 40 matchs (24 victoires à 16 pour Rafa). 2006 restera l’année de leur rivalité puisqu’ils se sont rencontrés à 6 reprises. Beaucoup de leurs duels mériteraient un article. Seulement, ce qui nous intéresse ici, c’est le Masters 1000 de Rome. Et, en 2006, ces deux-là s’étaient livrés, dans la ville éternelle, à l’une des finales les plus mémorables de l’histoire du tennis. - Un match pour écrire l’histoire À cette époque, Federer est frustré. Restant sur 3 défaites consécutives face à l’Espagnol, il veut prendre sa revanche. Battu à Monaco, trois semaines plus tôt, le Suisse estime se rapprocher de la bonne stratégie : “J’ai joué plus intelligemment qu’à Roland-Garros (demi-finale 2005) aujourd’hui (à Monaco). Je me rapproche, j’ai fait un pas de plus vers la solution pour le battre sur terre.”. De l'autre côté du terrain, Rafa, 19 ans, est déjà un roi. Depuis sa défaite face à Igor Andreev à Valence en 2004, il en est à 52 succès consécutifs sur ocre. C’est ainsi qu'il se trouve déjà à une unité du record de mammouth de Guillermo Vilas (53 victoires de rang sur terre battue). Pour égaler l’Argentin, il doit s’imposer face à Federer au sein du Foro Italico. Là où, un an plus tôt, il avait battu, au terme d’un des plus grands matchs de l’histoire sur terre battue, Guillermo Coria. - Federer, un numéro 1 mondial revanchard Dès le premier point joué, Federer passe des paroles aux actes. Il a un plan. Il joue en plein dans le revers du majorquin, dans des zones assez centrales pour éviter de trop gros décalages et bondit au filet dès que possible. Remportant 15 points sur 18 au filet, il finit par s’adjuger le premier acte au terme d’un tie-break à sens unique (7-0). Perfectionnant son jeu depuis des mois pour pouvoir contrer Nadal sur ocre, le Suisse bluffe son monde. Utilisant l’amorti bien plus qu’à l’accoutumé, il fait m
Interrogé sur Roland-Garros, Roddick s’attend à un tournoi plus ouvert que jamais : “Tout d’un coup, nous parlons de 12 ou 15 joueurs pouvant gagner le tournoi” On le sait, cette édition de Roland-Garros s’annonce plus indécise que jamais. Du moins, chez les hommes. Pour rappel, Carlos Alcaraz et Jannik Sinner sont toujours en délicatesse avec leur physique, Novak Djokovic est encore très loin de sa forme et Rafael Nadal peine à retrouver un niveau vraiment satisfaisant. Ce contexte, rarissime dans le tennis masculin, risque de nous offrir un tournoi plus ouvert que jamais et certains outsiders pourraient finalement endosser un costume de favori. C’est en tout cas ce que pense Andy Roddick, ex numéro 1 mondial et vainqueur de l’US Open 2003. Dans des propos relayés par Tennis Channel, le champion américain, titré à l’US Open 2003 explique qu’un grand nombre de joueurs pourraient s’imposer cette année : “Chaque joueur du top 4 mondial, ou presque, a un problème physique à l’approche du tournoi. Je ne pense pas qu’il y ait eu beaucoup de tournois du Grand Chelem au cours des 25 dernières années, en tout cas chez les hommes, pour lesquels nous puissions dire : ‘Oui, le tournoi est ouvert’. [...] Notre favori est un gars qui souffre d’une blessure à l’avant‐bras et qui n’a pas joué deux des trois derniers Masters 1000 (Carlos Alcaraz). D’ailleurs, Medvedev, Rublev et Ruud aimeraient aussi avoir leur mot à dire, tout comme Taylor Fritz et encore d’autres. Tout d’un coup, nous parlons de 12 ou 15 joueurs pouvant gagner le tournoi. Je crois que l’occasion se présente pour de nombreux joueurs que l’on ne considère pas forcément comme des favoris.”
Héroïque, Jarry renverse Tsitsipas à Rome C’est un vrai festival chilien qui frappe l’Italie. Après la qualification d’Alejandro Tabilo ce mercredi, c’est cette fois Nicolas Jarry qui a obtenu son billet pour les demi-finales. Opposé à un Stefanos Tsitsipas pourtant très en confiance, le numéro 24 mondial a fait preuve d’une grande résilience pour réussir à s’imposer (3-6, 7-5, 6-4 en 2h39). Dans un duel de haut niveau où les deux hommes ont joué un tennis très agressif, c’est finalement Jarry qui a été le plus costaud. Bluffant de réalisme, le Chilien a ainsi écarté 11 balles de break sur l’ensemble de la partie. Longtemps dominé, il a su faire le dos rond pour finalement profiter d’un petit coup de moins bien du Grec pour le coiffer au poteau. Rapidement mené d’un break puis d’un set (3-6), le joueur de 26 ans n’a rien lâché. Dominé une bonne partie du deuxième acte, il a finalement tenu sa mise en jeu, non sans écarter plusieurs balles de break, avant de surprendre Tsitsipas au meilleur des moments pour recoller (7-5). Bis repetita au dernier set. Malgré une superbe entame de son entame adversaire, Jarry va débreaker avant de réaliser un ultime break, synonyme de victoire (3-6, 7-5, 6-4). Qualifié sur une dernière défense de fond de court assez bluffante, il va donc vivre sa première demi-finale de Masters 1000 en carrière. De son côté, Tsitsipas manque une énorme occasion. Au vu de l’hécatombe romaine, le numéro 8 mondial avait une belle occasion de sacre. Surpris par un adversaire très relâché, il va devoir encore attendre s’il veut ajouter son nom au palmarès du tournoi. Bien que très en forme, il lui faudra encore mieux faire pour s’imposer à Roland-Garros, dans un peu plus d’une semaine. Nicolas Jarry, quant à lui, va devoir vite se remettre de ses émotions puisqu’il sera de retour sur le court dès demain pour y défier Tommy Paul, tombeur d’Hubert Hurkacz un peu plus tôt dans la journée (7-5, 3-6, 6-3).
A Rome, Swiatek continue de marquer l’histoire Iga Swiatek n’a pas notre temps. A 22 ans, elle est la patronne incontestée et incontestable du circuit WTA. Brillante, elle joue un tennis de très grande qualité, particulièrement sur terre battue. Après quatre matchs tranquilles, la numéro 1 mondiale a fait face à un premier gros test ce jeudi. Opposée à Coco Gauff (3e), elle y a répondu très favorablement. Bien que l’Américaine ait démarré le match pied au plancher en breakant d’entrée, Swiatek a utilisé toute sa science du jeu pour museler une adversaire encore un peu trop naïve (6-4, 6-3 en 1h47). Qualifiée, la Polonaise va donc vivre sa 25e finale en carrière, la 12e en WTA 1000. Il n’est pas certain que le grand public s’en rende bien compte mais ce que fait Swiatek a 22 ans est absolument historique. En 30 participations à des tournois de la catégorie, elle a donc atteint douze fois la finale (40% du temps). C’est simple, c’est le meilleur ratio depuis l’instauration du format en 2009, même Serena Williams ne fait pas mieux (37%, soit 18 finales en 49 participations). Bien consciente d’écrire l’histoire de son sport, la numéro 1 mondiale explique vouloir prendre de la distance avec les chiffres : “Honnêtement, je n'y pense pas vraiment, car c'est déjà beaucoup. Je vis ma vie au jour le jour. Je ne pense pas aux statistiques ou à l'histoire. Je pense que c'est plus facile ainsi. Cela vous permet de jouer de manière plus détendue et plus libre. Je vais juste essayer de jouer le meilleur tennis possible en finale. Si j'y vais doucement et pas à pas, je pense que ce sera mieux que si je pense déjà à la victoire. Le chemin est encore long. Il y a encore beaucoup de travail à faire.” Irrésistible, Swiatek visera donc un 21e titre en carrière ce samedi, performance qui la mettrait dans des dispositions parfaites en vue de Roland-Garros. En finale, elle pourrait bien retrouver, comme à Madrid, Sabalenka, à moins que Collins ne vienne gâcher la fête.
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