Elias Barranco Cosano

6 5 30 Alcaraz C 2 7 40 Tiafoe F 0 30 Struff J 3 15 Medvedev D 1 15 Dimitrov G 1 15 Monfils G 2 3 6 30 Nakashima B 1 6 7 40 Humbert U 3 7 00 Bautista Agut R 6 6 15 Fognini F 5 6 00 Kasatkina D 4 7 00 Badosa P 3 00 Kostyuk M 3 00 Keys M 4 3 6 Shnaider D 6 6 2 Navarro E 6 7 7 Sun L 6 6 6 Zhu L 1 3 15 Barranco Cosano J 3 6 40 Moreno de Alboran N 2 3 6 00 Andreev A 3 6 3 15 Piros Z 3 6 00 Jianu F 4 3 00 Heide G 1 00 Kirkin E 3 00 Dodig M 5 6 3 Benoit M 7 3 6 Selekhmeteva O Dnes S.Kartal at 17:00 C.Gauff Dnes J.Sinner at 17:30 M.Kecmanovic

Brasov 2024 - 1. kolo

Finished - 01:52

Elias, Gastao

6⁶

Barranco Cosano, Javier

Tendance des pronostics

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Gastao Elias

Javier Barranco Cosano

Vek

180cm

Výška

178cm

76kg

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70kg

324

Hodnosť

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+12

Past 6 months

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Head to Head

Všetko

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máj 20

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Paolini maîtrise Andreescu et rejoint les huitièmes de finale à Wimbledon Avant 2024, Jasmine Paolini n’avait pas remporté le moindre match du circuit principal sur gazon (hors qualifications). Cette saison, elle en a déjà remporté 5 et va jouer la deuxième semaine à Wimbledon. Assez dingue ! Son périple fou à Roland-Garros semble lui avoir fait complètement changer de statut. Numéro 7 mondiale cette semaine, l’Italienne franchit les étapes à toute vitesse. Déjà vainqueure de Sorribes Tormo et Minnen, Paolini a parfaitement dominé une Bianca Andreescu pourtant très en forme (7-6, 6-1). Qualifiée pour la deuxième semaine sans avoir perdu de set, elle retrouvera au prochain tour la gagnante du match entre Madison Keys et Marta Kostyuk.

Pour Dimitrov, le joueur le plus difficile à battre, c’est Federer : “Roger a toujours été l’adversaire le plus difficile pour moi” Grigor Dimitrov est l’un des joueurs les plus suivis du circuit ATP. 10e mondial cette semaine, le Bulgare s’est fait une peur bleue au second tour, face à Juncheng Shang, mais s’en est finalement sorti à l’expérience (5-7, 6-7, 6-4, 6-2, 6-4). Interrogé en conférence de presse, il a été invité à s’exprimer sur la domination qu’ont exercée Roger Federer et Novak Djokovic sur le tennis sur gazon pendant de très nombreuses années. Souvent battu par l’un comme par l’autre, Dimitrov a accepté de donner son avis et, selon lui, le plus grand défi possible, c’est Federer : “J’ai l’impression que Roger (Federer) a toujours été l’adversaire le plus difficile pour moi sur toutes les surfaces. Il a toujours été capable de m’enlever du temps. Je me souviens que lorsque j’ai joué ici contre lui, c’était comme ça à chaque point. Cela vous met très mal à l’aise sur le court, cela vous oblige à tenter des coups que vous ne devriez pas jouer, cela vous sort complètement de votre jeu. Quand cela arrive, vous êtes en difficulté contre n’importe quel joueur, mais surtout contre lui. Le match ici contre Novak est l’un de ceux dont je me souviendrai toujours (victoire de Djokovic en demi-finale de l’édition 2014, 6-4, 3-6, 7-6, 7-6). J’étais tellement proche et je jouais si bien. Je parle souvent de ce match parce que c’est celui où je me demande : ‘Que se serait‐il passé si…’. J’ai eu des balles de set au quatrième set. C’était un match où nous avons tous les deux joué à un très haut niveau, la marge était très faible et c’est peut-etre ça la différence.”

Battu dès le deuxième tour, Tsitsipas positive : “Je repars fier de moi” Ce n’est pas vraiment la réaction à laquelle on s’attendait de la part de Stefanos Tsitsipas. En effet, après avoir affiché de grosses ambitions, il a finalement été stoppé dès le second tour à Wimbledon. Battu par un Emil Ruusuvuori bluffant (7-6, 7-6, 3-6, 6-3), Tsitsipas a semblé prendre cet échec avec beaucoup de recul en conférence de presse. Bien que ce résultat soit extrêmement décevant, Tsitsipas a tenu à retenir le positif sans complètement se remettre en question : “C’était un match intéressant, tout aurait pu changer si j’avais gagné le deuxième set. J’ai fait de mon mieux, mais ça n’a pas marché. Il a très bien géré ses émotions et a eu un peu plus de puissance et de précision que moi. Je repars fier de moi, ces matchs vont me faire progresser. Je dois apprendre à gérer ce genre de situations sous pression .”

Sinner, un vainqueur vraiment soulagé : "Il est difficile de se dire que ce n’était qu’un deuxième tour" Jannik Sinner s’est vraiment fait très peur au second tour de Wimbledon. Opposé à son compatriote, le revenant et ex-finaliste de l’épreuve, Matteo Berrettini, le numéro 1 mondial a eu besoin de sérieusement s’employer pour s’en sortir (7-6, 7-6, 2-6, 7-6 en 3h46). Malmené par un Berrettini assez impressionnant (66 coups gagnants, 28 aces, 72 % de premier service), Sinner a fait preuve d’un réalisme assez incroyable lors des différents tie-breaks. Alors qu’il va retrouver Miomir Kecmanovic au troisième tour, le Transalpin est à nouveau revenu sur ce duel fratricide en conférence de presse. Visiblement très soulagé de s’en être sorti, il a confié avoir été obligé de jouer à un très haut niveau dès son second match du tournoi : “Nous nous attendions tous les deux à un niveau très élevé, même avant le match. Il sert très bien, il utilise très bien le slice, il se déplace bien sur cette surface, son coup droit est ultra lourd. Je savais que c’était un match où je devais élever mon niveau et heureusement, j’ai réussi à le faire. Évidemment, au vu de la façon dont le match s’est déroulé, du score et de tout le reste, il est difficile de se dire que ce n’était qu’un deuxième tour. On aurait dit une demi-finale. Nous ne pouvons malheureusement pas contrôler les tirages au sort. C’est très agréable de voir Matteo jouer à ce niveau, j’espère que nous le verrons désormais avec beaucoup moins de blessures, je lui souhaite le meilleur.”

Monfils encense Wawrinka : “Stan est quelqu’un que j’admire” Gaël Monfils retrouve le sourire. Après un joli tournoi de Majorque qui l’a vu accéder aux demi-finales, il réalise une entame de Wimbledon très solide. Vainqueur avec autorité de son compatriote, Adrian Mannarino, au premier tour (6-4, 3-6, 7-5, 6-4), le vétéran de 37 ans a parfaitement enchaîné face à son rival et ami Stan Wawrinka (7-6, 6-4, 7-6). Ainsi, alors qu’il s’apprête à défier un certain Grigor Dimitrov, Monfils est revenu sur son succès face au Suisse, insistant notamment sur le plaisir qu’il a eu à jouer ce match : “C’était une bataille de vétérans. C’est pour cela que nous aimons toujours ce jeu. Nous essayons de pousser nos corps un peu plus loin. Nous sommes de bons amis. Nous parlons tout le temps. Quoi qu’il en soit, Stan est quelqu’un que j’admire. Il est un peu plus âgé que moi, c’est un vainqueur de Grand Chelem. C’est un peu le grand frère. J’ai toujours eu beaucoup d’admiration pour lui. C’est toujours un privilège de jouer contre lui. Aujourd’hui, j’ai gagné, mais je sais que la prochaine fois, ce sera peut‐être lui. Nous avons juste eu une bataille cool.”